un pocky par ci...un autre par là!(PV Samuel)

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Je venais seulement d’arriver...Enfin, seulement...Hier soir quoi. J’étais tellement fatigué par le voyage, que mon agent avait du me transporter jusqu'à ma suite. Je me suis réveillé dans mon lit...gigantesque... avec seulement un morceau de papier pour toute indication ou tout mot de la part de l’équipe avec qui je travaillais habituellement. Bon, en gros ils me disaient de bien profiter de mes vacances, de faire touuuus et vraiment tout ce que je voulais sur cette île le temps que j’y resterais... Et d’être encore plus connus. Puis que c’était un plaisir de travailler avec moi... Enfin tout ce genre de truc.
Sur le coup je me suis sentit seul...et totalement perdu. J’étais loin de Londres, la seule ville que je connaissais...Et sans une seule personne de mon entourage. Autant dire que les vacances ne commençaient pas vraiment comme je l’aurais voulut. D’abord laisser ma mère seule en plein déménagement ne me plaisait pas. Et savoir que mon demi-frère étaient là-bas, capable de tout et n’importe quoi...J’en avais des frissons rien qu’en y pensent.

« Boooon, quoi que je vais mettre comme tenue ? »

J’ai retourné mes valises pour trouver la tenue que je voulais, un pull noir et un jeans noir troué tout partout ET, le plus important : mes chaussures à semelle compensée, histoire de ne pas paraître trop nain.
Une fois apprêter, je mis trois paquet de pocky dans mon sac et je suis partit à la visite de l’hôtel...Celui ci est d’ailleurs tellement vaste que je ne suis pas sur de savoir retourner à ma suite après. Au bout de quelques heures de visite, je me suis finalement installé sur la terrasse, à l’ombre de préférence pour ne pas bronzer et j’ai commencé à observer les gens qui passaient autour de moi en vidant mon premier paquet de pocky. Avec mon pull, j’avais de plus en plus chaud. Au bout d’un moment je me suis décidé à l’enlever. Un mec qui se fout torse nu sur une terrasse, ça doit déranger personne non ? Bah, que ce soit le cas ou pas, ils n’auront qu’a regarder ailleurs ! J’ai laissé tomber mon chandail sur le sol, profitant de l’aire frais sur ma peau pâle. Et, en souriant de toutes mes dents de vampire, je me suis étiré, me foutant bien du regard que les autres clients pourraient me lancer.

Invité

« Papa pourquoi je dois vivre si je dois mourir ? »
« Parce que c’est le cycle de la vie mon enfant ! »
« Et si je ne veux pas vivre j’ai le droit de mourir ? »
« Pourquoi ne voudrais-tu pas vivre mon fils ? »
« Parce je connais la vie, je veux connaître la mort maintenant ! »

Il avait à peine dix ans lorsqu’il dit cela à son père, un enfant que la vie n’intéressait pas, je crois qu’il n’y a rien de plus cruel en se bas monde. Un enfant qui finalement avait perdu le goût des choses, des joies, des peines, des amours, et des haines. Un enfant qui semblait avoir déjà vécu tout cela du haut de son petit mètre quarante-huit, et qui n’aspirait à plus grand-chose.... cet enfant c’est moi, Patrick Wayne....

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Exaspéré d’être aussi mauvais, il effaça tout en appuyant à r’allonge sur la touche Cancel de son net book jusqu’à ce que tout la page redevienne blanche, il claqua l’écran sur le clavier, et poussa l’appareil plus loin sur la table. Depuis qu’il était arrivé à Sweet Holidays il y a 6 jours, il n’avait pas réussi à écrire une ligne digne d’être au moins relue selon lui. Pas que ce roman soit forcément vital à sa vie... il était plutôt vital à son âme... comme un sentiment de puissance sur une des dernières choses qu’il pouvait encore contrôler... Sa chemise blanche légèrement ouverte il se terra dans le fond de sa chaise, regardant les autres autours de lui, son regard vu attiré par un jeune japonais, enfin, il supposa qu’il était japonais au vue de sa morphologie. Le jeune homme c’était mit torse nu sur la terrasse, juste en face de notre écrivain, cela ne semblait choquer personne ici. La réputation de l’hôtel était donc réelle... L’importance c’était juste la chaire et rien d’autre... il remarqua au bracelet de l’homme le même qu’on lui avait offert à son arrivé, il caressa le bijou du bout de doigt, et songea à quelle catégorie de star se freluquet pouvait il bien appartenir. On ne pouvait pas dire que Samuel était un homme discret. Quand il avait une idée en tête, il fonçait, de plus la curiosité, et l’intelligence qu’il utilisait pour observer le monde l’aider bien souvent à ne pas se prendre de râteaux dans les dents. Il eut un maigre sourire aux lèvres en voyant le jeune homme manger des sortes de Mikado rose, ça le fascinait assez... il n’avait jamais été à Tokyo.... il avait toujours eu peur d’aller à Séoul et là bas.... pourtant il avait traversé la Chine, l’Inde et l’Indonésie en long, large, et travers. Mais il connaissait peu de choses finalement au pays du soleil levant, et à sa terre maternelle. Fort de son caractère posé et sûr de lui, Sam se leva, et tira la baise prêt de l’homme pour s’y poser, il le toisa un instant, puis sourit.

Pardon de débarquer ainsi à l’improviste mais j’avoue que vos espèces de Mikado rose sont intrigants ! Ils proviennent du japon ?

Avant d’avoir la réponse de l’homme, il arrêta un serveur pour qu’il puisse lui ramener un autre granité à la framboise petit pêcher mignon de l’écrivain, la framboise sous toutes ses formes le faisait saliver à n’en plus finir.

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Hé bien décidemment cet endroit était étrange. Si le jeune avait fait ça à Londres, il aurait eu une centaine de regard braqué sur lui et les commentaires fuserait...et pas toujours agréable d’ailleurs les commentaires. Il n’arrivait toujours pas à comprendre pourquoi on l’avait envoyé ici... A moins que ce ne soit une île paradisiaque remplie de gay, elle ne lui convenait absolument pas. Mais il pensait à quoi cet agent ? Comment il pouvait se détendre avant de reprendre sa carrière sur ce truc flottant luxueux et qui avait l’air ennuyeux à mourir ? Alors qu’il portait un autre pocky à sa bouche, un homme vint s’asseoir à sa table. Le jeune sourit en observant l’inconnu sans aucune gène.

« Mikado ? »

Il regarda le pocky qu’il tenait puis l’homme.

« Le pocky ? Ba oui ! C’est la qu’ils sont vrais et bon, le reste, c’est que des imitations aux goûts plus chimique qu’autre choses ! »

Il souriait comme d’habitude... Un sourire qui montrait que rien ne pouvait l’atteindre. Quoi que, après qu’il aille parler, son sourire se fit plus sincère et même quelque peu amuser. Il tendis un pocky à l’homme.

« Vous voulez gouter ? Ils sont à la fraise ! »

Keiyuu, pencha un peu la tête en le regardant. Il trouvait ce mec assez mignon, s’il était gay, ce serait génial. Et encore plus s’il était libre ! Bon, il va pas non plus ce faire de film le pauvre petit, il va resté sur l’idée que le mec qui est devant lui est hétéro. Son regard passa sur le bracelet de l’homme et y resta un moment.

« Dites, ce bracelet, il veut dire quoi ? Je suis arrivé hier en dormant, et j’ai le même, mon agent a du me le mettre, mais je ne sais pas à quoi il sert ! »

A vrais dire, il ne savait pas grand choses, que ce soit sur l’utilité de ce bracelet ou de la réalité de cette île. Il savait juste qu’il pouvait y faire touuus ce qu’il voulait, absolument tout ! Et que son agence payait pour lui.

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Samuel eut un fin sourire en voyant que le jeune homme ne le rejettait pas, au contraire, il engagea la discussion autour des ces fameux... pocky... se mot le faisait rire intérieurement, mais il lui donnait envie de placer son dernier roman au temps du japon ancien d'un coup.... hmm il allait faire des recherches la dessus, c'était sûr. Il regarde le mikado rose.... oui dans sa tête... ça restait un mikado se truc, et hésita avant de le prendre mais il ne voulait pas contrarier le jeune homme face à lui, ça aurait été bien impoli de ne pas essayer quelque chose que l'on ne connaissait pas. Il prit le batonnet rose, et croqua dedans. On ne peut pas dire qu'il aimait réellement ça, mais c'était comestible. M'enfin, lui et le sucré, ça faisait 4 à part les framboises qu'il aurait pu manger par kilos, il n'était pas attiré par tout ça. Il arrêta un serveur et commanda un verre de glaçon. La chimio lui donnait des crampes d'estomac terribles et c'était la seule chose de naturel qui le soulageait un temps soit peu. La remarque du jeune sur les bracelets le surpris un peu, il regarda le sien, et se remit bien assis.

En faite les bracelets sont des codes couleurs inventés par les deux directeurs, ils avancent ça comme des cadeaux, mais ça permet aux autres de connaître votre statut. Par exemple les notre indique que nous sommes des stars.... le sien *montre discrétement le poignet d'un nantis au bracelet ivoire et incrusté d'émeraude* montre qu'il est un nantis.... un riche quoi mais pas célébre... comme les industriels... ou des grands dirigeants.... ou fils de riche.... en gros les bracelets indiquent ce que nous sommes.... et tout le monde en porte. Les clients comme le personnel, et même les deux directeurs en ont. Si vous croisez un homme avec à son poignet un bracelet noir incrusté de rubis étincellant c'est un d'eux.

Il prit le verre qu'on lui apporta et croqua rapidement un glaçon avant de le regarder encore, son allure juvénile lui donnait un coté trés innocent, mais Sam ne voulait pas s'y fier. Tout le monde joue sur son apparence, et ce qu'il dégage.... et lui aussi sûrement.

Vous verrez dans votre suite, vous avez un petit livret récapitulatif de l'hôtel, et les codes couleurs des bracelets sont expliqués.

Il reprit un glaçon, et soupirait d'aise intérieurement.

Hmm... au faite, je m'appelle Samuel et vous ?

Invité

Hé, aucune réflexion sur le fait qu’il parle de pocky ! Déjà un point marqué. C’est vrais que pour une fois qu’on l’envoie pas se faire foutre quand il parle des goûts des pocky ou des pas pocky .De plus, si on le lançait sur se sujet il pouvait en parler pendant des heures. Donc, n’en parlons plus. Il finit le biscuit qu’il avait commencé et rangea la fin de son paquet. Il écouta ce que lui disait l’homme assis à sa table et hocha la tête.

« Haaaan, je voiiis ! Tsss, cet hôtel m’a l’air bien compliqué ! En plus j’ai été lâché sans explication ni rien... »

Dans sa tête, le jeune se mit à récapituler les couleurs histoire d’être sur de bien avoir tout retenus. Alooors, noir… directeurs…Jaune comme le siens, star par contre, l’histoire des nantis devenait trop compliquée pour lui…et les employés alors ? De quels couleurs était leur bracelet ? Aussi ne se gêna-t-il pas pour fixer les poignets du serveur qui venait de déposer un verre de glaçon devant le jeune homme. De cette façon, il put voir son bracelet et mémoriser sa couleur.

« Ha, un livret ? Moi qui n’aime pas lire, je suis servi ! »

Keiyuu s’étira, exhibant son pauvre torse, il posa ses avant bras sur la table et observa encore une fois l’étranger… Enfin, plus si étranger que ça maintenant qu’il avait dis son nom.

« Moi c’est Keiyuu »

Il eut un sourire plus que charmant et passa une main dans ses cheveux pour les ramener en arrière. Il pencha la tête pour regarder l’homme manger ses glaçons.

« C’est bon ? »

Il n’avait jamais eut l’envie ou l’idée de manger des glaçons, d’où ça question pleine de curiosité enfantine. On ne sais jamais, qu’il soit passé à côté d’un truc super bon.

Invité

Sam avait l'impression de se retrouver à coté d'un enfant... ô pas que lui fut un vieil homme sage plein d'expérience, loin de là, même si de part son métier, il se trouvait plus ouvert au monde, et plus réceptif. Il regarda le jeune blond en souriant, et se demandait pourquoi il était si enfantin. Si ce n'était qu'une façade, ou un état d'esprit réel. Il l'bservait du coin de l'oeil en souriant, il ne voulait pas paraître insistant et gardait une certaine distense. Aussi la question du jeune homme lui élargit son sourire. C'est vrai que peu de gens avaient du penser à manger des glaçons, Sam n'y avait pas pensé, jusqu'à il y a 3 mois.

Flash back

Il était dans un lit d'hôpital aprés sa première chimiothérapie, complétement épuisé se tenant le ventre car son estomac le tiraillait de crampes, une infirmière vint le voir et se mit prêt de lui.

Ca fait un... mal de chien...
Oui je sais.... mais vous avez déjà eu les médicaments pour ça...
Y'a... rien d'autre ?

Il se tordait de douleurs, et s'épuisait encore plus.

Si... enfin... personnellement quand j'ai mal au ventre, je mange des glaçons, je peux vous en rapporter, ça peut, peut être vous aider.
Si... vous voulez...

En réalité, les glaçons n'avaient pas de pouvoirs magiques sur l'estomac, mais leur fraîcheur appaisait les brûlures passagères. Elle lui en apporta quelqu'un et depuis comme une habitude, il en mangeait souvent.

Fin du Flash.

Il regarde Keiyuu et lui tendit son verre.

Je vous en prit, servez vous ! Y'en a assez pour nous deux aprés tout.

Il avait un tendre sourire aux lèvres, Sam ne jouait pas, hormis le fait qu'il essayait de cacher sa leucémie aux yeux des autres, il ne jouait pas vraiment il ne ressemblait en rien à l'auteur de roman noir qu'on décrivait dans les articles, et pour sa dernière année de vie, il voulait être souriant autant que possible.

Invité

Il regarda le verre et le pris pour prendre un glaçon en bouche pour mordre dedans et sourit alors qu’il croquait dans les morceaux glacé d’eau. Il devait être plus que marrant à regardé étant donné qu’il se demandait ce que c’était censé faire comme effet de mangé un glaçon.... Il avala l’eau qui se trouvait maintenant dans sa bouche puis regarda Samuel.

« C’est....bizarre...et frais ! Avec du sirop ça pourrait être suuuuper bon ! »

Mange un pocky puis le regarde pour rajouter.

« On peut laisser tomber le vouvoiement ? Hein ???Hein ???Dites, s’il vous plait ! »

IL prit un air encore plus gamin et suppliant en même temps... Il n’avait jamais aimé vouvoyer les gens... En réalité, c’est un des trucs dont il avait horreur ! Il regarda l’homme en repensant amuser la première fois que son agent lui avait dit qu’il ne devait pas tutoyer tous le monde. Et la, que lui avait il répondit....un truc du genre....’heuuuu...pourquoi ? ...Je dois tutoyer tout les gens alors ?..Même ceux qui sont dans mon lit ?’ Et ce, sur un air tout candide. Son agent à alors tirer une de ses tronches, c’était réellement à mourir de rire. Enfin, actuellement, il n’en était pas la !

« Sinon, que fais tu dans la vie ? »

Oui, il n’a pas attendus la réponse pour le tutoiement. Après tous, il est comme tout les gamins... Impatiens et parfois incapable d’attendre.